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    Salut !

    Avec "The Mississippi Blues Child", ce natif de McComb (né le 25 août 1976) affirme et revendique sa totale affiliation au Blues, et plus particulièrement celui né dans l'Etat du Magnolia - Sipp en diminutif de Mississippi -. Toutefois, par bien des côtés, son Blues semble s'être copieusement abreuvé au West-side Blues de la Windy city, et de se saupoudrer d'une once de BB King. On dit que son album est l'un des meilleurs de la catégorie de l'année 2015...


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  • Salut !

    La Country-Soul existe. Des musiciens l'ont osée, des compilation l'ont célébrée. Jadis, on la trouvait dans le Sud des Etats-Unis où les Noirs et les Blancs ont toujousr bravé les monochromie musicale. On l'inventait aussi en Californie, dans les disque de Creedence Clearwater Revival.

    Nathaniel Rateliff est un cas : originaire du Missouri, le trentenaire a sorti il y a maintenant cinq ans Memory of Loss , un mémorable disque de song-writer folk, trésor caché d'Americana au coeur en miettes. Il était de retour en 2015 dans un tout autre genre : la Soul Rétro, validée par la présence du logo Stax sur son disque.


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  • Andrew Neiman est un jeune batteur de jazz  de 19 ans. Il vient d'intégrer le prestigieux Shaffer Conservatory de New York, l'une des meilleures écoles de musique du pays. Aspirant à devenir le nouveau Buddy Rich, il est repéré par le très exigeant Terence Fletcher, enseignant et chef d'orchestre à Shaffer.

    Andrew s'entraîne avec acharnement pour accéder aux attentes toujours plus inaccessibles de Fletcher. Sous prétexte de pousser ses élèves au-delà de leurs limites, ce dernier alterne les conseils amicaux et les déchaînements d'injures, n'hésitant pas à aller jusqu'à la violence physique. Fletcher raconte pour se justifier l'histoire de Charlie Parker, le futur « Bird » : alors qu'il était adolescent, il participe à un set avec Jo Jones qui lui lance une cymbale à la tête sous prétexte d'un jeu particulièrement décevant. Parker, dépité, rentre chez lui et s'entraîne pendant un an avant de réapparaître et de devenir, comme vous le savez, l'un des meilleurs musiciens de jazz de l'histoire... A VOIR ABSOLUMENT !!!!!!.....


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    The Dana Fuchs Band sera samedi 9 Mai 2015 au Billy Bob's (Paris) dans le cadre du week-end blues....enfin je vais pouvoir assister au show de Dana !... depuis le temps où j'attends cela !....assurément l'une des plus dignes descendantes de Janis...voui... Les potes belges l'on peut-être déjà vue au Spirit of 66....Bonne écoute.


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    La vie de Muddy Waters se confond avec la grande histoire du blues. Avec la vie âpre dans les plantations de coton, au cœur de ce  Delta du Mississippi où il nait en 1915. Avec les fêtes dans les juke joints enfumés où courent d’étranges légendes de guitaristes ensorcelés. Avec le célèbre musicologue Alan Lomax, qui croise son chemin et l’enregistre presque malgré lui. Avec l’exode vers Chicago, ses usines, ses abattoirs et ses clubs. Avec les stars du blues (de Howlin’ Wolf, son ennemi juré, à Otis Spann, James Cotton, Willie Dixon, ses complices). Avec, enfin, les jeunes blanc becs d’un rock en pleine explosion, impressionnés par son jeu saturé d’électricité (sa chanson Rollin’ Stone donnera accessoirement son nom à un petit groupe anglais...).

    A partir d’une multitude de témoignages, le journaliste et écrivain Robert Gordon dresse un sidérant portait - grouillant d’anecdotes - de ce géant du blues. De ses musiciens hauts en couleurs (et souvent armés jusqu’aux dents !). De ses nombreuses femmes (jalouses). Et surtout de cette musique du diable, dont il fut un grand seigneur. 

     


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